Sur la figure ci-dessus, nous pouvons faire l’analogie du fonctionnement d’un transistor avec celui d’une vanne.
NPN : Lorsque l’on applique une force positive (de haut en bas) sur le levier de la vanne, un débit apparaît du collecteur qui se trouve en hauteur (+) vers l’émetteur qui se trouve en bas (-). Plus l’effort sur la vanne est important, plus le débit entre le collecteur et l’émetteur sera amplifié.
PNP : Lorsque l’on applique une force négative (de bas en haut) sur le levier de la vanne, un débit apparaît de l’émetteur qui se trouve en hauteur (+) vers le collecteur qui se trouve en bas (-). Plus l’effort sur la vanne est important, plus le débit entre l’émetteur et le collecteur sera amplifié.
PNP : La base est pilotée par un négatif (-), la sortie du signal « collecteur » est positive (+).
En fermant l’interrupteur (NO), on constate que l’ampoule (L1) s’allume. L’intensité lumineuse change en fonction de la position du potentiomètre (Pot). La résistance (R) est ici pour protéger le transistor des surintensités.
Le courant de passage émetteur / base crée un courant multiplié par le gain du transistor entre l’émetteur et le collecteur.
Gain : Capacité d’un dispositif à augmenter la puissance d’un signal.
NPN : La base est pilotée par un positif (+), la sortie du signal « émetteur » est négative (-).
En fermant l’interrupteur (NO), on constate que l’ampoule (L1) s’allume. L’intensité lumineuse change en fonction de la position du potentiomètre (Pot). La résistance (R) est ici pour protéger le transistor des surintensités.
Le courant de passage base / émetteur crée un courant multiplié par le gain du transistor entre le collecteur et l’émetteur.
Gain : Capacité d’un dispositif à augmenter la puissance d’un signal.